REPOTECH

Cristal collectif du CNRS
De gauche à droite : Elisabeth Galopin, Billel Guerboukha, Benjamin Lecha, Philippe Dubois, Isabelle Roch-Jeune © CNRS
De gauche à droite : Elisabeth Galopin, Billel Guerboukha, Benjamin Lecha, Philippe Dubois, Isabelle Roch-Jeune © CNRS
De gauche à droite, haut en bas : Philippe Sabon, Caroline Boisard, Monique Dilhan, Jean-Claude Jeannot, Benoît Bélier, Stéphane Guilet © Philippe Sabon © Lydie Deïvas © David Villa ScienceImage CBI CNRS © DR © Laurent Ardhuin © INSP Cécile Duflot
De gauche à droite, haut en bas : Philippe Sabon, Caroline Boisard, Monique Dilhan, Jean-Claude Jeannot, Benoît Bélier, Stéphane Guilet © Philippe Sabon © Lydie Deïvas © David Villa ScienceImage CBI CNRS © DR © Laurent Ardhuin © INSP Cécile Duflot

 

Lauréats

  • Benoît Bélier, directeur technique de la plateforme PIMENT - Centre de nanosciences et de nanotechnologies1 (C2N) - Délégation Gif-sur-Yvette - Institut de physique (INP) - Institut des sciences de l’ingénierie et des systèmes (INSIS)
  • Caroline Boisard, chargée opérationnelle des IR et plateformes   Délégation Paris-Normandie - Institut de chimie (INC)
  • Monique Dilhan, adjointe au responsable de la centrale de technologie - en charge des partenariats exogènes et RENATECH - Laboratoire d'analyse et d'architecture des systèmes (LAAS-CNRS) - Délégation Occitanie Ouest - Institut des sciences de l’ingénierie et des systèmes (INSIS) - Institut des sciences de l’information et de leurs interactions (INS2I)
  • Philippe Dubois, assistant en ingénierie logicielle - Centre de recherche en informatique, signal, et automatique de Lille2 (CRIStAL) - Délégation Hauts-de-France - Institut des sciences de l’information et de leurs interactions (INS2I)
  • Elisabeth Galopin, ingénieure de recherche, responsable local outils RENATECH - Institut d'électronique de microélectronique et de nanotechnologie3 (IEMN) - Délégation Hauts-de-France - Institut des sciences de l’ingénierie et des systèmes (INSIS)
  • Billel Guerboukha, ingénieur DevOps et Lead developer sur REPOTECH au sein du réseau RENATECH - Institut d'électronique de microélectronique et de nanotechnologie (IEMN) - Délégation Hauts-de-France - Institut des sciences de l’ingénierie et des systèmes (INSIS)
  • Stéphane Guilet, ingénieur de recherche, créateur et coordinateur du logiciel DIGICLEAR - Institut des nanosciences de Paris4 (INSP) - Délégation Paris-Centre - Institut de physique (INP)
  • Jean-Claude Jeannot, responsable technique de la centrale de technologie MIMENTO - Institut Franche-Comté électronique mécanique thermique et optique–Sciences et technologies5 (FEMTO-ST) - Délégation Centre-Est - Institut des sciences de l’ingénierie et des systèmes (INSIS)
  • Benjamin Lecha, ingénieur de recherche, chef de projet informatique pour le réseau RENATECH - Institut d'électronique de microélectronique et de nanotechnologie (IEMN) - Délégation Hauts-de-France - Institut des sciences de l’ingénierie et des systèmes (INSIS)
  • Isabelle Roch-Jeune, ingénieure de recherche, responsable locale accueil projets RENATECH - Institut d'électronique de microélectronique et de nanotechnologie (IEMN) - Délégation Hauts-de-France - Institut des sciences de l’ingénierie et des systèmes (INSIS)
  • Philippe Sabon, responsable partenariat projet - Plateforme technologique amont PTA/LTM - Laboratoire des technologies de la microélectronique (LTM) – SPINTEC6 (Spintronique et technologie des composants) - Délégation Alpes - Institut de physique (INP)

1 CNRS/Université Paris-Saclay
2 CNRS/Centrale Lille Institut/Université de Lille
3 CNRS/Université de Lille/Université polytechnique Hauts-de-France
4 CNRS/Sorbonne Université
5 CNRS/Comue université Bourgogne-Franche-Comté
6 CNRS/CEA/Université Grenoble Alpes

Le réseau RENATECH est un réseau national du CNRS distribué en cinq grandes centrales de technologies localisées à Palaiseau, Lille, Besançon, Toulouse et Grenoble. L’équipe, constituée de représentants de chacune de ces centrales et de développeurs informatiques de l’Institut d’électronique, de microélectronique et de nanotechnologie1 , a lancé une nouvelle application : REPOTECH. Elle permet de gérer les demandes de faisabilité ou de projets afin d’accéder aux équipements technologiques du réseau.

Depuis plus de dix ans, le CNRS dispose d’un réseau de centrales de micro et nanofabrication, RENATECH, ouvert à des utilisateurs issus des mondes académiques et industriels. Piloté par l’institut des sciences de l’ingénierie et des systèmes du CNRS (INSIS), RENATECH a permis une remise à niveau de l’outil microtechnologique français, le plaçant ainsi à la pointe en termes d’équipements et d’expertise humaine. Il dispose aujourd’hui de 8 300 m2 de salles blanches réparties sur cinq plateformes. Le réseau s’est élargi depuis 2017 par les moyens technologiques disponibles dans plus d'une vingtaine de centrales régionales avec RENATECH+. Pour développer l’application REPOTECH, RENATECH a ainsi formé en son sein, un groupe de travail composé d’administrateurs de centrales et d’informaticiens. L’organisation de réunions mensuelles a permis aux administrateurs d’exprimer leurs besoins et de conseiller les informaticiens en charge du développement sur leurs réalisations. Pour répondre aux besoins d’accessibilité des utilisateurs du réseau, réparti partout en France, le choix d’une application web s’est imposé. En plus des réalisations attendues, l’équipe a développé des systèmes de communication pour que ce projet puisse interagir avec les LIMS (Laboratory Information Management System), déjà installé dans les centrales RENATECH. Ces communications avec DigiCleaR, CROSS et MyFab améliorent le suivi des projets de recherche réalisés dans les diverses salles blanches du réseau. L’équipe projet a déployé la première version de REPOTECH en janvier 2022. Cette nouvelle application a offert aux utilisateurs une nouvelle interface plus rapide, plus ergonomique et offrant de nouvelles fonctionnalités. De plus, elle garantit une parfaite sécurité des informations contenues dans la base de données et en conserve l’historique de la base précédente. Dotée depuis de nouvelles fonctionnalités comme la génération de statistique ou de faits marquants associés aux projets, l’application gère aujourd’hui plus de 2 400 projets et près de 3 600 utilisateurs.

  • 1CNRS/Université de Lille/Université polytechnique Hauts-de-France